Voici une nouvelle page des anecdotes de notre voyage...en espèrant que ça vous plaise, nous en remettrons régulierement (on en a sous le coude !) :
- Sur le salaar de Coipasa, au nord du
salaar d'Uyuni, Alexis trouve une clé à cliquet par terre. Il la
ramasse, le soir, lui refait une beauté en ponçant la rouille et la
huile un peu. Malgré le poids que ce genre de clé pèse, il
l'emmene jusqu'à Uyuni et réussira à la revendre, 40 bolivianos
soit 5€, à un garagiste.
- En début de voyage, je roule derrière
Pau quand je lui crie : « Attention tu as des petites
bêtes qui monte sur ton garde boue !!! »... Pau ayant
horreur des petites bêtes crie en remuant sur la selle :
« AHHHHH enleve les !!! AHHHH ». Cela dure quelques
secondes quand je lui dit enfin que ce ne sont que les petites
coccinelles qu'elle a collé avec ses cousines avant de partir...Moi
j'ai bien rigolé !
- Au nord du Pérou, après la cordillère
blanche, Alexis étudie la carte pour essayer de savoir si la route,
que l'on va suivre, va monter ou descendre. Il dit, en se fiant au
fait que la route longe la rivière dans le sens de la descente, que
la route va elle aussi descendre. Cool ! Sauf qu'en fait la
route monte le long de la rivière qui descend ! Je tire une
tête...
- Un resto à Cuzco : premièrement,
nous attendons un sacré moment que l'on vienne nous prendre la
commande, deuxièmement nous attendons encore un très long moment
pour que François et moi (Alexis) soyons servit, et ce n'est
qu'après avoir attendu cette petite heure que la serveuse dit à
Pauline : « Ah au fait, on a plus de poulet ! Que
voulez vous ?». Pau ne mangeant pas de viande rouge n'a plus de
choix et ne mangera pas tout en se retenant de na pas insulter la
« serveuse »...
- Alexis dort déjà depuis une heure en ronflant. Son réveil sonne : « ola, j’étais en train de m’endormir ! » …
- Alexis part faire de courses pendant
que Pauline garde les vélos dans l’entrée du magasin. Le vigile
fait que de la regarder bizarrement. En revenant, Alexis remarque
l’énorme trou dans le short de Pauline ! La honte ! On
repart en chantant : « mon pantalon est décousu, et si ça
continu on verra l’trou d’mon ... pantalon… »
- Dans la cordillère blanche au Pérou,
il fait très froid, surtout le soir ! Alex décide de faire un
feu, mais il n’y a pas assez de bois. Seulement des crottes sèches
de lamas… Nous essayons donc ces dernières, et ça marche !
Très bon combustible ! Et on n’a même pas eu
d’odeurs désagréables !
- Alexis fait à manger dans la chambre
d'hôtel, à Santiago. Le réchaud est posé sur la table de nuit qui
a une vitre en verre sur le dessus. Le réchaud chauffe, chauffe,
chauffe, jusqu'à ce que la vitre ne supporte plus la
chaleur...Gloups.
- Au moment de faire un colis direction
la France (Puno – une de nos dernières villes au Pérou), on
regarde dans les sacoches pour renvoyer le superflu. Plusieurs choses
inutiles repartent, mais Alexis pousse le bouchon en renvoyant même
la moitié du guide du routard Pérou-Bolivie qui ne nous servira
plus !
- Au nord du Pérou, une journée de plus
à monter sur une piste, quand soudain, un faux plat descendant sur
100m ! Alexis, qui n'est plus habitué à descendre glisse sur
le coté de la piste sableuse, chute et roule jusque dans le
« ravin ». Sam et Pauline qui n'ont pas vu la chute
arrive quelques secondes après et voient le vélo par terre et plus
personne à coté. Ils s'approche rapidement et retrouve Alexis
quelques mètres plus bas, accroché on ne sait comment, à un
arbuste...Ouf !
Spécial nos amis les bêtes :
- Au Pérou, il existe une race de chien
sans poils. Sauf que certains ont quand même quelques poils sur leur
peau noire. Imaginez en un avec des poils blond piqués sur la tête
et au bout de la queue
- En Équateur, Pérou et Bolivie, les
chiens sont particulièrement hargneux et nous course derrière les
vélos. En passant à coté d'une maison, nous entendons un gros
aboiement et apercevons un molosse venant en courant. Samuel dit :
« pas de problème, il est derrière le grillage »...Ouf,
celui ci coure à coté de nous jusqu'au bout....du grillage...que
les propriétaires n'ont pas trouvé bon de terminer !
Gloups !!!! Plus de peur que de mal après plusieurs pierres
lançées.
- Au nord du Pérou, alors que nous
installons notre tente non loin d'une habitation, un groupe de chien
de toutes tailles et corpulence, est présent. Le seul à aboyer et à
montrer des signes d'hostilité est une sorte de caniche (croisé
avec on ne sait pas quoi, peut-être une chèvre?). Soudain, alors
que Pauline lui tourne le dos, il se jette sur son mollet !
Heureusement le caniche avait oublié son dentier et il a juste
pincer sans mordre...
- A Sicuani, sud du Pérou, nous roulons
en compagnie de François. Ce dernier, s'occupe d'un chien hostile en
lui lançant une pierre (à coté bien sur). D'habitude lorsque nous
faisons cela, les chiens partent en courant. Contre toute attente,
celui ci part mais va chercher la pierre et la ramène à François
en remuant la queue... « Quel ...on ce chien ! »
(parole de François)
- A Puccalpa, limite foret amazonienne au
nord du Pérou,Nous visitons un lodge avec des animaux. A la fin,
nous pouvons faire monter un singe sur nous, il monte sur les épaules
de Pauline, s'accroche et ne veut plus descendre. Obligé d'aller
chercher bananes et soda pour qu'il veuille bien décamper de son
dos...
- A Coroico, dans un hotel, le matin :
douche chaude pour Marc (le Belge avec qui nous avons fait la
visite), douche chaude pour Alexis et douche chaude pour Pauline
jusqu'au shampoing. Au moment de rallumer l'eau pour rinçer :
plus une goutte d'eau ! L'hôtel n'était plus
alimenter...Heureusement deux seaux d'eau froide et douteuse traînent
par ici et serviront à rincer les cheveux de Pauline ! Merci à
Marc et Alexis d'avoir pris leur temps sous la douche !
- On mange
une glace dans la rue quand Pauline dit : « Elle est plus
froide que d'habitude! ». Dans le même registre, elle entend des éléphants alors que nous sommes au restaurant en pleine ville... c'est en fait le groom de la porte d'entrée qui grince !!!
- Un matin, tout est rangé, prêt à partir, Alexis demande ou est son compteur. Oups, il est resté dan la poche interieure de la tente...
- Le jour du départ en avion, nous nous
rendons compte que notre avion fait une escale aux États-Unis. Pour
entrer aux USA, il faut un certain papier (autorisation après
vérification de l'identité, etc) qu'il faut faire,sur internet, 3
jours avant de partir pour être sur de l'avoir en temps et en
heure... On aura de la chance, l'autorisation nous sera accordée
aussitôt...Ouf
- A ica, nous avons fait du sandboard, surf des sables.
Bien sur pas mal de chutes, la trousse de l'appareil ne fermant plus
très bien, celui-ci mange le sable. Au moment de faire LA photo du
coucher de soleil dans les dunes, impossible d'allumer l'appareil :
« problème dans le bloc optique »...le sable bloque
l'ouverture du zoom...Rrrrr ! (Après démontage et nettoyage il
re-fonctionne)
- Avant de rentrer sur le salar, on veut
prendre une douche que nous n'avons pas pris depuis plusieurs jours
déjà. On demande à un hotel pour se doucher, Pauline y va en
première, le gérant explique qu'il faut tourner à fond pour l'eau
chaude. Au tour d'Alexis, Pauline lui dit que l'eau est bien chaude
mais elle omet (volontairement ou pas???) de dire qu'il faut tourner
à fond le robinet pour l'eau chaude.... Gla gla gla...
- Pendant la visite d'Ica (côte sud
Pérou) avec Raùl, nous avons dormi dans l'hotel d'un de ses amis...
4 étoiles...Après le départ de Raùl, nous ne voulons pas repayer
une nuit dans cet hotel (assez cher) mais qui doit nous garder nos
vélos (gratuitement) durant 1 semaine pendant que nous retournons à
Trujillo en bus. Nous disons donc au gérant que nous partons dès ce
soir en bus pour Trujillo alors qu'en fait, nous allons prendre un
autre hôtel dans le centre, beaucoup moins cher. Jusque là pas de
souci, sauf que au moment d'aller manger en ville, on sort de l'hôtel
plus abordable et tombons nez à nez avec le fils du gérant, dans
son 4x4, avec qui nous avions discuté dans l'après-midi !
Celui-ci ne tilte pas et nous propose même de nous emmener jusqu'au
resto de notre choix...Ouf !
- Alexis veut faire peur à Pauline en
lui lançant l'appareil photo de loin. Sauf qu'il tient l'appareil
par la sangle et doit normalement le retenir. Normalement puisqu'il
ne le tient en fait pas et que Pauline est trop loin pour le
rattraper. L'appareil s'écrase par terre, heureusement sans dégâts !
- Sur l’île Incahuasi, au milieu du
salar d'Uyuni vit un couple de personnes âgés qui tiennent un
restaurant et qui font à manger pour les cyclistes passant la nuit
sur l’île. En fin de journée, nous discutons avec la dame qui est
en train d'écraser des graines avec ses pieds nus dans une grande
marmite. On lui demande ce que l'on mange le soir : soupe de
quinoa. Il se trouve que sous ses pieds, à la propreté douteuse, se
trouve...du quinoa ! Miam miam.
- Lors de nos
quelques jours avec le projet des Américains, Daleen demande en
Anglais à Alexis combien il mesure. Alexis et son anglais parfait
comprend qu'on lui demande la longueur de ses cheveux...
- Dans la « valle de las rocas »,
au début du Lipez (sud Bolivie), endroit touristique, Pauline est
prise d'une envie pressante. Elle se met dans un coin, pas assez
reculé puisqu’elle se retrouve nez à nez avec une autre
touriste ! Gênée toute les 2, Pauline lui fait tout de même
coucou le temps de finir son besoin.
- Au début de notre
voyage, notre connaissance des aliments ici étant peu développée,
on va dans une petite boutique tenue par une mamie. On lui prend du
maïs non préparé. Au moment de payer, elle nous demande :
« Pour qui c'est le maïs ? Bah pour nous ! Ah mais
ça, c'est du maïs pour les poules ! ».
- Dans un fast food, à Trujillo, Pauline
laisse la monnaie dans son plateau le temps de manger. Sauf qu’elle
oublie de la reprendre avant de jeter le tout dans la poubelle.
- Alors que nous sommes en train de pique
niquer en bord de route, un livreur de gaz s'arrete avec sa
camionnette et nous fait signe. Alexis y va, le gars lui tend 2
assiettes sous plastique qu'il doit offir à ses clients : il
nous dit : c'est pour que vous mangiez... et il repart. (Ovalle
- Chili)
- En montant les affaires dans l’appart
de Mario (Ayacucho), Pauline ne s’aperçoit pas qu’elle fait
tomber le guide du routard et la carte du Pérou. Problème, il
pleut, le couloir n’a pas de toit, tout le sol est détrempé….le
routard et la carte apprennent à nager pendant 10min !
- Alexis
imite le bêlement du mouton quand il voit un troupeau. Souvent, les
plus jeunes répondent. Un jour, au bout de 3 ou 4 bêlements et
réponse du même agneau, celui-ci s’arrête, se retourne et bêle
une dernière fois fortement et avec insistance en voulant dire :
bon cette fois t’arrête de te moquer de nous !!!
- Pauline en faisant une omelette laisse la pince en plastique (qui sert de queue á la poele ) sur la gamelle en alu...résultat elle fond et on ne peut plus l'utiliser...
- En allant au Macchu Picchu, on fait une pause au bord d'une petite riviere. Alexis se mouille le visage accroupi, Francois veut faire semblant de le pousser sauf que son pied dérape vers la riviere entrainant les
2 gars dans l'eau... Trempés jusqu'á la taille !
- Au resto, Alexis qui pour savoir si c'est du ketchup ou du piment sent la bouteille, sauf que celle ci est pleine et qu´il s'en met plein le nez...
- Pendant une descente caillouteuse, la
sacoche de guidon de Pauline (remplie à ras-bord comme d’habitude !)
s’ouvre… Beaucoup de choses tombent dont le papier toilette que
Pauline rattrape…par le mauvais bout ! Du coup avec le vent,
le papier s’envole et se déroule au fur et à mesure que Pauline
le ramasse en tas !
- Alexis qui veut absolument brancher le
PC dans une prise Péruvienne (pas tout à fait la même niveau
grosseur des trous) force et explose la prise électrique de la
chambre d’hôtel. On recolle le tout à la glue.
- Le paquet de céréales Chocapic qui
éclate dans la sacoche avant et se vide totalement. Puis Passage de
frontière Bolivie/Chili, la douane regarde nos sacoches et doit se
dire : les crados !
Mort de rire cet épisode du papier toilette qui se déroule. Le vélo qui tombe avec le vent, le papier qui s'envole et Pauline qui court après. Alex, t'as une photo ?
RépondreSupprimerJe me souviens bien de cette journée, nous étions arrivés a la nuit tombée a Condoroma, dans le froid. Que de bons souvenirs !
Ah !en effet je pense que les douaniers ont pu penser ça.
RépondreSupprimerJe te reconnais bien Là.
ça me rappelle une certaine 306 souvent bien encombrée.
pas mal du tout cette nouvelle page, on en veut d'autres !!
RépondreSupprimerj'espère que c'était du piment dans la bouteille!!
RépondreSupprimerOui c'était celle du piment ! Toujours aussi sympa la frangine...
SupprimerAh!! J'adore Pauline!!!!
SupprimerTrop marrantes vos anecdotes, on en veut d'autres ! Le coup du papier toilette a du être très comique... et, Alexis, j'adore le commentaire de ta soeur ! Bisous les Gaston Lagaffe ! Mamoune.
RépondreSupprimerBande de gros dégueulasses !
RépondreSupprimerCa fait longtemp kil n'y a pas eu d'anecdotes, encore et encore!!
RépondreSupprimerAlexis, c'est facile de se moquer de Pauline en lui disant qu'elle a des petites bêtes qui montent sur son vélo... elle, ne se fait pas peur avec les "méchants crocodiles" qui seraient susceptibles de lui manger les pieds, en escaladant une branchette... Je vais essayer de te trouver un beau porte-clef avec un croco !... Commentaire de Maman Nandou.
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